L’hiver et le jour qui meurt

Posted on 21 January 2017 by Marie Baum.

Beaucoup de froid, un peu d’errance, de la beauté.

On croit toujours qu’il faut partir loin pour s’émerveiller.

Mais parfois il suffit juste de savoir regarder au bon endroit.

Servoz – France

Petites ruches.
Servoz – France

Servoz – France

Le froid tel un bijou.

Servoz – France

Notre Dame du Lac.

Servoz – France

Je caresse ton absence
La montagne et l’errance
Et puis l’ennui
La rivière te ressemble
Au moins en apparence
Pourtant tu fuis

– Sublime et Silence – Julien Doré

Un jour en hiver

Posted on 17 January 2016 by Marie Baum.

Un jour en hiver.
Je suis sortie de ma voiture pour admirer la neige s’envoler autour des sommets à la façon d’une brume légère.
Les chevilles fraichies par la neige qui s’engouffrait dans mes chaussures, admirant un paysage pastel et majestueux, dans le silence feutré des étendues immaculées.

Un jour en hiver, je me suis rappelée à quel point j’aimais cet endroit.

#NoFilter

#OkJustALittleFilter

#NoFilter

Fréro Delavega – Le Chant des Sirènes (eh ouais)

D’autres photos de Chamonix en hiver ? Regardez par là

C’est comment l’hiver, déjà ?

Posted on 17 November 2013 by Marie Baum.

Brouillard du matin.
Le froid est saisissant, les toits fument.
Dehors, ça sent l’hiver, ça sent l’air glacial.
Novembre avance, la neige bientôt.

On a un peu oublié ce que ça fait.

En tout cas l’hiver dernier, c’était comme ça.

Servoz.

“Elle dansait, pour de vrai, pour lui plaire à lui seul. Il pensait quel malheur que vous ne m’aimiez même pas ce quart d’heure.”

Servoz.

Chamonix.

Les Praz.

Ou comment finir en beauté une journée de ski.

Servoz.

Flume – The Greatest View

Légende d’automne

Posted on 28 October 2013 by Marie Baum.

Quand l’esprit atteint ses limites, c’est vers la nature que l’on se tourne, c’est le retour aux sources.
Voilà presque vingt ans que je foule ce sol, mille fois j’ai exploré ces reliefs et contourné ces racines, traversé ces ponts. Rien n’a changé, même les odeurs sont les mêmes, mélange d’épines, de sève et de terre humide. C’est la vérité que je contemple, l’immuable de cette atmosphère si douce, de cet air un peu frais, de ces ombres allongées.
J’y reviendrai toujours.

Pierre d’Orthaz – Chamonix